Cette femme est maligne, maligne et jolie, facétieuse aussi. Nolwenn écrit des romans, parce qu’à partir de deux on peut dire DES romans, des bons romans chez Gallimard. Et puis enfin elle a un nom qui sent les embruns, le vent dans les cheveux et la terre.
Je suis allée l’embrasser au Cercle National des Armées ou elle baillait dans une remise de prix. On a fureté un peu dans les lieux avant de se faire rappeler à l’ordre.